Publié le 20 Août 2013
On appelle vin à deux oreilles celui qui, écrit Furetière, fait secouer les oreilles de déplaisir (Beurk!), et vin à une oreille celui qui fait pencher l'oreille en signe d'approbation. Voici l'origine de cette expression du XVIIe siècle. C'est aussi la raison pour laquelle tous ceux qui sortent de chez Nicolas Reau ont la tête penchée, ils n'ont pas le torticolis, ils ont aimé.